Construite en 1974 par l’architecte Bruni, elle représente « un Évangile ouvert sur le monde »

d’où cet aspect « pages » entourant le bâtiment à l’extérieur et à l’intérieur.

En entrant, nous admirons le vitrail de la Croix de Jésus Ressuscité sur un fond de galets du gave : Symbole du Ressuscité faisant rouler la pierre du tombeau et de tous les baptisés appelés à devenir “pierres vivantes de l’Eglise“, nouveau temple de Dieu.

Au cœur, sur l’autel, le symbole du Christ est représenté par un “chrisme“, monogramme du Christ composé des deux premières lettres majuscules de son nom en grec – “X“ (khi) et “P“ (rho) – et de l’alpha “A“ et l’omega “O“, symboles du commencement et de la fin, le titre divin attribué )à Jésus christ dans le livre de l’apocalypse (Ap 1,8)

A droite de l’autel, le tabernacle avec un poisson : Icthus en grec
et initiale des mot Iesous Christo Theou Uios Soter, Jésus Christ, fils de Dieu Sauveur.

Son Chemin de croix, dont voici l’histoire racontée, a été offert par M. Roger Laüt le 8 mai 2013

La vie de la Sainte Patronne de l’église

 

Quelques dates importantes

Rentrée de l’année 2009-2010 : la chapelle, à l’entrée de l’église, devient chapelle de l’adoration perpétuelle

21 octobre 2010 : un moment qui a marqué la communauté paroissiale : l’accueil et la vénération des reliques de Sainte Thérèse

Ils sont venus nombreux pour accueillir et vénérer les reliques de la Sainte Patronne de l’Eglise

Les enfants ont découvert l’histoire de la « Petite Thérèse » qui déjà, à leur âge, avait un amour immense pour Jésus.
Ils lui ont écrit et offert leur prière et lui ont confié leur famille, leurs amis, leurs soucis et leurs joies…

Au pied de l’autel, la ceinture brodée par Sainte Thérèse


Juillet 2011 : l’église commence sa rénovation

Peinture, plafond, éclairage et mise aux normes pour un meilleur accueil des personnes en fauteuil.
Professionnels et paroissiens se sont compléter pour accomplir cette œuvre.


Voici l’histoire de la création de la statue
de la Vierge du « Me voici » par Sœur Mercédès

D’une masse d’argile travaillée à main nue, apparait peu à peu une femme.
Le soir, un voile de plastique la recouvre pour que l’argile ne sèche pas.

De jour en jour, elle progresse ; longtemps après, elle prend forme
dans l’atelier, sous le regard de Sainte Thérèse.

Puis tronçonnée des pieds à la tête, on peut l’évider : la paroi fait 3 à 4 cm.

Les morceaux sont replacés, il faut effacer les traces, les coupes, affiner,puis laisser durcir 1 ou 2 jour et la couper en deux en vue de la cuisson au four.
Suit un séchage lent et long, 1 à 2 mois.

La voici dans le four avec d’autres pièces sèches.

Les parties sont collées et c’est la mise en couleurs polychrome.
Enfin on patine et on cire !

Commentaires de l’artiste, que vous pouvez retrouver au fond de l’église